La COP 27 a pris la décision de mettre en place un fonds « pertes et préjudices », dédié à aider les pays vulnérables et financé par les plus grands pollueurs.
Les énergies fossiles sont pointées du doigt par le GIEC dans le but d’atteindre le Net zéro carbone et la course globale vers la transition énergétique est déjà en marche.
Le GIEC se montre très clair dans ses derniers rapports : le changement climatique blesse déjà l’humanité et il est désirable de le limiter autant que possible.
Cette COP ne débouche pas sur des solutions suffisantes pour le climat. C’est un autre événement médiatique qui rappelle que des enjeux économiques divergeant empêchent de former un consensus sur ce qui constitue le bien commun du monde.