Solution de recyclage des cartes à puce
En apportant sa solution « Made in France » du Recyclage total et BAS CARBONE des cartes à puce, ADIMAS n’oublie pas, dans son rôle d’intégrateur de l’écologie industrielle : d’assurer les performances quantitatives et qualitatives du process, mais aussi les performances climatiques et énergétiques significatives.
Nous sommes une partie prenante du recyclage des cartes à puce, en tant qu’opérateur du recyclage. Nous cherchons à mettre à contribution les compétences spécifiques que nous avons acquises.
En apportant sa solution « Made in France » du Recyclage total et BAS CARBONE des cartes à puce, ADIMAS n’oublie pas, dans son rôle d’intégrateur de l’écologie industrielle : d’assurer les performances quantitatives et qualitatives du process, mais aussi les performances climatiques et énergétiques significatives.
Nous sommes une partie prenante du recyclage des cartes à puce, en tant qu’opérateur du recyclage. Nous cherchons à mettre à contribution les compétences spécifiques que nous avons acquises.
Notre contribution est une solution qui concilie exigences de sécurité, de confidentialité et d’efficacité du recyclage, par la valorisation des matières des cartes de paiement, entre autres, sans perdre leurs qualités intrinsèques. Ces matières sont le plastique et les métaux ferreux et non ferreux, tels que le cuivre, le nickel, l’or, le palladium, l’argent… Nous garantissons 100% de métaux précieux récupérés.
Nous suivons aussi le cadre de L’article L541-1-1 du Code de l’Environnement (version en vigueur depuis le 31 juillet 2020, modifié par l’Ordonnance n°2020-920 du 29 juillet 2020 – art. 3) qui stipule :
Valorisation matière :
« Toute opération de valorisation autre que la valorisation énergétique et le retraitement en matières destinées à servir de combustible ou d’autre moyen de produire de l’énergie. Elle comprend notamment la préparation en vue de la réutilisation, le recyclage, le remblayage et d’autres formes de valorisation de matière telles que le retraitement des déchets en matières premières secondaires à des fins d’ingénierie dans les travaux de construction de routes et d’autres infrastructures. »
Nous apportons à la carte à puce, qu’elle soit une carte de paiement ou autre, une finalité vertueuse et nécessaire à la poursuite de son cycle de vie. Grâce à son recyclage, elle pourrait accéder au qualificatif de « carte écologique », à condition que d’autres critères soient remplis, dont notamment le bon choix de matière plastique par les concepteurs.
Les enjeux d’un recyclage efficace des cartes à puce
Les enjeux du recyclage des cartes à puce sont importants et le progrès dans son organisation, rien que dans le recyclage des cartes bancaires, reste largement à faire en France.
Par exemple, en 2020 en France, les cartes bancaires en circulation (donc sans compter les cartes restaurant, les cartes de fidélité, les titres de transport et autres cartes à puces) représentaient un gisement d’environ 95 millions de cartes recyclables.
Cela représente plus de 400 tonnes de déchets, alors que 68% des banques françaises ne communiquent toujours pas sur le recyclage de leurs cartes à puce émises, dont elles demeurent pourtant les propriétaires, avec l’obligations d’assurer leur recyclage.
En même temps, les utilisateurs de cartes à puce telles que les cartes de paiement, de plus en plus conscients des enjeux environnementaux et désireux d’apporter leur contribution, sont perdus et dubitatifs face à l’absence d’information explicite et facile d’accès à ce sujet.
Sans information, les utilisateurs ne peuvent pas savoir que jeter sa carte bancaire à la poubelle revient à gâcher son potentiel de matières recyclables, y compris le potentiel de réduction des émissions de CO2.
Qu’est-ce qui s’impose aux marques distributrices
de cartes de paiement ?
COMMUNIQUER
COMMUNIQUER pour informer et sensibiliser les utilisateurs finaux sur les enjeux du recyclage des cartes à puce, comme les cartes bancaires échues, afin de déclencher l’action contributive des utilisateurs finaux : faire collecter son ancienne carte bancaire à son expiration.
PREFERER LES PLASTIQUES RECYCLES
PREFERER LES PLASTIQUES RECYCLES pour la fabrication, par exemple, des cartes bancaires. Néanmoins, ce choix de matériau, certes largement moins impactant pour l’environnement, ne dispense pas de la mise en place du recyclage pour les cartes à puce en fin de vie. Les plastiques peuvent être recyclés plusieurs fois, y compris les plastiques recyclés !
Il est important de souligner que :
Les cartes à puce telles que les cartes de paiement en plastique recyclées (ce qui est déjà un très bon choix de matière) ne peuvent pas bénéficier de l’attribut de « carte écologique » tant que leurs distributeurs ne garantissent pas le recyclage en fin de vie de la carte à puce.
METTRE EN PLACE
METTRE EN PLACE le(s) système(s) de collecte adéquat(s) pour réussir un recyclage de qualité, par le RECYCLAGE complet des cartes à puce et de chaque matériau : plastique et métaux ;
Ce système de collecte doit tenir compte du confort de l’utilisateur final, sans le contraindre à se déplacer jusque l’agence du distributeur de la carte. C’est le même niveau de confort que celui dont bénéficie l’utilisateur en recevant sa nouvelle carte !
ADOPTER
ADOPTER une solution de recyclage BAS CARBONE permettant la séparation et le recyclage performant de matières contenues dans les cartes à puce, sans perdre leurs qualités intrinsèques : > plastique et > métaux : or, palladium, argent, cuivre, nickel… et parfois aussi lithium, en offrant aux métaux un nombre de cycles de vie infini et aux plastiques les multiples vies.
CHASSER
CHASSER le recours à l’incinération pour la valorisation énergétique des plastiques, qui n’est pas un recyclage selon le Code de l’environnement.
Recyclage :
« Toute opération de valorisation par laquelle les déchets, y compris les déchets organiques, sont retraités en substances, matières ou produits aux fins de leur fonction initiale ou à d’autres fins. Les opérations de valorisation énergétique des déchets, celles relatives à la conversion des déchets en combustible et les opérations de remblayage ne peuvent pas être qualifiées d’opérations de recyclage »
Article L541-1-1 du code de l’environnement
Modifié par Ordonnance n°2020-920 du 29 juillet 2020 – art. 3
AVOIR CONSCIENCE
AVOIR CONSCIENCE de la qualité du gisement des déchets des cartes bancaires :
CONTRIBUER
Contribuer, par le recyclage complet des cartes à puce, à une réduction significative des émissions de CO2 et à l’émergence d’un nouvel approvisionnement en métaux stratégiques : cuivre et notamment or et palladium, dont l’épuisement des ressources naturelles exploitables est inéluctable et attendu dans les prochaines décennies.
Il s’agit de ressources naturelles, non renouvelables sous forme exploitable !
Même si, grâce à des technologies plus avancées, de nouveaux gisements devenaient économiquement exploitables, cela ne ferait que repousser l’échéance de quelques années et ne changerait pas la nature du problème.
Ces métaux précieux que sont l’OR ou le PALLADIUM, proviennent de l’explosion, la collision d’étoiles dont les débris ont donné naissance au Soleil et à la Terre, il y a plus de cinq milliards d’années.
On ne peut pas les synthétiser et il n’en existe aucun substitut.
Performance qualitative de la solution
du recyclage des cartes à puce
ADIMAS récupère et recycle les métaux contenus dans les cartes de paiements entre autres, y compris le LITHIUM – présent dans certaines cartes bancaires.
Notre performance de récupération des métaux précieux s’élève à 100%
Les matières plastiques des supports des cartes à puce concernées par notre recyclage de plastique, sont : PVC (y compris biosourcé), PVC-R, PC, PET, PS, PS-R, ABS, etc …
Concernant le PLA – plastique biosourcé, il n’est pas recyclable et reste polluant pour les sols, les cours d’eau, les milieux marins. Il est biodégradable uniquement dans les conditions de compostage industriel et malheureusement, les usines de compostage pouvant traiter le PLA conformément aux normes sont rares. En Allemagne -pays avancé dans le recyclage des plastiques, on en compte seulement 5%.
Vous trouverez sur notre Blog plusieurs articles concernant notre solution de recyclage des cartes à puce y compris les cartes bancaires, SIM et autres cartes de paiement.
Ces articles ont pour but d’informer et de sensibiliser tous les acteurs impliqués dans le cycle de vie de la carte à puce tel que la carte bleue, du fabricant aux utilisateurs finaux. Les sujets abordés sont nombreux et permettent, entre autres, de :
- Connaitre les définitions clefs pour comprendre les enjeux de recyclage des cartes à puce
- Prendre conscience des enjeux environnementaux du recyclage des cartes à puce
- Comprendre les contenu et le sens des mots « valorisation » ou « recyclage »,
- Savoir identifier les responsables du recyclage des cartes bancaire et d’autres cartes à puce ,
- Se faire guider dans la démarche contributive au recyclage des cartes à puce en fin de vie.
Performances environnementales
de notre solution du recyclage des cartes bancaires
La solution d’ADIMAS pour le recyclage des cartes à puce, offre de multiples vies aux matières plastiques recyclées et un nombre infini de vie aux métaux, tout en atteignant des performances environnementales significativement élevées :
Notre recyclage d’or à partir des cartes à puce permet d’en réduire l’empreinte carbone de 93 % par rapport à l’or extrait des mines.
Il est à noter que la France, avec 1.5 tonne d’or extrait au maximum par an, n’est pas un grand producteur d’or et reste obligée de l’importer.
Du point de vue de l’environnement, l’intérêt du recyclage des métaux précieux est largement plus grand que celui de l’exploitation minière.
Notre recyclage de PVC à partir des cartes à puce permet de réduire l’empreinte carbone de 94 % par rapport Au PVC vierge.
Le périmètre du bilan comprend :
- Séparation des matières plastique/métaux dans la carte à puce, tri et broyage des matières séparées,
- Stockage, transport, lavage, densification, micronisation, compoundage.
Notre recyclage de PVC à partir des cartes à puce permet de réduire l’empreinte carbone de 94 % par rapport Au PVC vierge.
Le périmètre du bilan comprend :
- Séparation des matières plastique/métaux dans la carte à puce, tri et broyage des matières séparées,
- Stockage, transport, lavage, densification, micronisation, compoundage.
Types de cartes à puce concernés par notre recyclage
Il s’agit des rebuts de cartes à puce provenant de différentes sources :
- Déchets des cartes à puce générés lors de la production des produits semi-finis et/ou finis,
- Déchets des cartes à puce post-consommation, dits « en fin de vie ».
Nous réalisons précisément le recyclage des cartes à puces de tous types : cartes de transport, cartes restaurant, mais aussi les cartes bancaires, cartes SIM, cartes Vitale, carte de paiement… ainsi que toutes les versions de cartes privatives de diverses enseignes commerciales, issues de la même technologie.
Une attention particulière est portée aux cartes SIM. Leur format est différent des cartes de paiement tout comme les plastiques contenus.
Il s’agit ici majoritairement des : ABS, PS, PS-R.
Nous assurons le recyclage de ces plastiques.
Une attention particulière est portée aux cartes SIM. Leur format est différent des cartes de paiement tout comme les plastiques contenus.
Il s’agit ici majoritairement des : ABS, PS, PS-R.
Nous assurons le recyclage de ces plastiques.
ELPIS17® – séparation et tri des matières des cartes à puces
Le cœur de notre solution de recyclage des cartes à puce, constitue un traitement automatique spécifique. Jusqu’à 4 actions simultanées peuvent être exécutées en fonction du programme associé au type de la carte à puce traitée :
- Détection et ciblage intelligent des matières dans la carte à puce : une ou deux puces, un polluant éventuel, par exemple une batterie en lithium pour les cartes de paiement.
- Séparation triée de la puce (ou des puces) avec la destruction instantanée par broyage fin, entièrement effectué dans un circuit fermé et verrouillé.
- Séparation triée du polluant détecté dans la carte à puce, comme une batterie dans une carte bancaire à cryptogramme dynamique.
- Destruction physique des données personnelles confidentielles sur le support plastique de la carte à puce, notamment carte bancaire ou tout autre carte de paiement, en la rendant illisible et non reconstructible.
Les trois flux de matières séparées et triées sortants du traitement sont : plastiques, métaux, polluants.
Destruction physique par broyage des supports plastiques des cartes de paiement
FINALITES de notre solution de
RECYCLAGE des cartes à puce
Plastiques recyclés des cartes à puce
Les broyats plastiques triés lors du process de valorisation des cartes à puce, par qualité du plastique : PVC et RPVC, ABS, PS et RPS, … sont collectés en big-bags et dirigés vers notre partenaire compoundeur, qui produira des granulats de matières premières recyclées (MPR) : PVC-R, ABS-R, PS-R, …
CONTENU DES BIG-BAGS
Granulats des matières premières recyclées (MPR) : PVC-R, ABS-R, PS-R, … :
En 2020, la France a produit
1 085 611 tonnes de PVC et en a importé 164 383 tonnes.
CONTENU DES BIG-BAGS
Granulats des matières premières recyclées (MPR) : PVC-R, ABS-R, PS-R, … :
En 2020, la France a produit
1 085 611 tonnes de PVC et en a importé 164 383 tonnes.
VALORISATION MATIÈRES PLASTIQUES
Le PVC – plastique le plus utilisé, c’est un matériau polyvalent et sa demande est grandissante en Europe et en France, où elle excède la production.
Les plasturgistes sont contraints d’importer du PVC, ce qui crée une dépendance de notre industrie envers les autres pays.
Compte tenu de la conjoncture de pénurie des matières plastiques, les prix des matières et de l’énergie qui s’envolent, les plasturgistes, en France et ailleurs en Europe, privilégient les matières plastiques recyclées lorsque cela leur est possible. Dans cette situation chaque nouvelle source de PVC local compte.
Le PVC issu du recyclage des cartes à puce constitue un nouvel approvisionnement.
VALORISATION MATIÈRES PLASTIQUES
Le PVC – plastique le plus utilisé, c’est un matériau polyvalent et sa demande est grandissante en Europe et en France, où elle excède la production.
Les plasturgistes sont contraints d’importer du PVC, ce qui crée une dépendance de notre industrie envers les autres pays.
Compte tenu de la conjoncture de pénurie des matières plastiques, les prix des matières et de l’énergie qui s’envolent, les plasturgistes, en France et ailleurs en Europe, privilégient les matières plastiques recyclées lorsque cela leur est possible. Dans cette situation chaque nouvelle source de PVC local compte.
Le PVC issu du recyclage des cartes à puce constitue un nouvel approvisionnement.
Exemple de produits en PVC recyclé
Exemple de produits en ABS recyclé
LITHIUM RECYCLÉ ISSU DES BATTERIES DES CARTES À PUCE
Les batteries, séparées et récupérées entièrement lors de notre valorisation de cartes à puce, sont dirigées vers une filière spécialisée pour leur recyclage.
MÉTAUX FERREUX ET NON FERREUX RECYCLÉS DES CARTES À PUCE
Les métaux des cartes à puce qu’ADIMAS recycle sont potentiellement (en fonction de la technologie employée pour leur fabrication) : l’or, le palladium, l’argent, le cuivre, le nickel et le lithium.
Il s’agit des métaux stratégiques et chaque gisement compte aujourd’hui plus que jamais. Les nations contrôlant la production de métaux critiques sont dotées d’avantages économiques et stratégiques certains. On observe notamment ce type d’enjeux stratégiques avec les énergies fossiles.
D’un point de vue environnemental, le recyclage des métaux précieux et communs, y compris ceux des cartes à puce, est largement plus intéressant que l’exploitation minière.
Cela dit, le recyclage ne concurrence pas l’exploitation minière, mais s’y additionne. Il ajoute un flux d’approvisionnement à ceux qui existent déjà.
L’or industriel
Environ trois quarts de l’or produit mondialement provient des mines, le reste provient du recyclage.
En France métropolitaine, le dernier grand site minier dédié à l’exploitation d’or, la mine de Salsigne, a fermé en 2004. Seule la Guyane exploite des gisements d’or à hauteur de 1,2 à 1,5 tonnes par an. Cela représente moins de 0,05% de la production mondiale.
Le palladium industriel
Les gisements de platinoïdes se trouvent généralement dans des roches magmatiques. Le magma permet au métal de remonter en surface, au travers de la croûte terrestre. C’est le cas pour les principaux gisements mondiaux
Le palladium industriel
Les gisements de platinoïdes se trouvent généralement dans des roches magmatiques. Le magma permet au métal de remonter en surface, au travers de la croûte terrestre. C’est le cas pour les principaux gisements mondiaux
L’argent industriel
Contrairement à l’or qui est principalement utilisé en joaillerie, l’argent l’est dans l’industrie, selon Daily FX en 2020.
En électronique, il sert dans les soudures, les brasures, les semi-conducteurs, etc. 31% de la demande provient des industriels et 26% provient d’investisseurs.
Le cuivre industriel
Le cuivre est un excellent conducteur électrique. Bien que sa valeur ait sensiblement augmenté dans les dernières années, il reste moins coûteux que l’argent, seul métal plus conducteur.
Le cuivre industriel
Le cuivre est un excellent conducteur électrique. Bien que sa valeur ait sensiblement augmenté dans les dernières années, il reste moins coûteux que l’argent, seul métal plus conducteur.
Le nickel industriel
Les PCB (« Printed Circuit Board » désigne le circuit imprimé), nus ou équipés de composants électroniques, ils comportent une large gamme de métaux : (…), nickel (dans les résistances), étain (dans les soudures) etc.
La demande de nickel a augmenté de 16,2% en 2021 avec à la fin de l’année, un déficit de 168 mille tonnes, le plus important depuis près d’une décennie…
Plusieurs scientifiques ont calculé qu’au rythme de consommation actuelle +/- 63 kilos de nickel par seconde, les réserves seront critiques, voir épuisées d’ici 2048. Il ne faut pas omettre que le nickel est une ressource non renouvelable.